1- Les petites entreprises n’intéressent pas les « hackers »
Quatre entreprises sur dix de moins de cinquante salariés ont subi une cyberattaque en 2019. (source CPME)
En effet, plus on est petit, moins on possède les outils et la connaissance pour faire face aux risques auxquels les entreprises sont exposées.
Il est plus facile de rançonner un commerçant ou une petite entreprise qui n’a pas les moyens de se défendre, qu’un grand groupe armé de spécialistes et conseillers en la matière. Les conséquences d’une cyberattaque sont lourdes, au point de mettre en péril la vie de l’entreprise.
En effet, plus on est petit, moins on possède les outils et la connaissance pour faire face aux risques auxquels les entreprises sont exposées.
Il est plus facile de rançonner un commerçant ou une petite entreprise qui n’a pas les moyens de se défendre, qu’un grand groupe armé de spécialistes et conseillers en la matière. Les conséquences d’une cyberattaque sont lourdes, au point de mettre en péril la vie de l’entreprise.
Exemple de Cyber-extorsion (d’un client assuré) :
Une PME a reçu un email de l’un de ses fournisseurs réclamant le règlement urgent d’une facture. Il s’agit en réalité d’un faux message, et la pièce jointe comporte un virus qui crypte un grand nombre de données du système informatique de l’entreprise, rendant ces dernières totalement inaccessibles. Le pirate informatique réclame une rançon pour débloquer les données. Au titre de son contrat d’assurance, la PME appelle la cellule de crise. Le coordinateur de la cellule l’oriente vers un expert, afin qu’il puisse analyser le problème et déterminer si le cryptage peut être facilement défait.
AIG (la compagnie d’assurance) a pris en charge, pour un montant de 60 000 €, les frais de l’expert, le montant de la rançon, les frais de reconstitution des données ainsi que la perte d’exploitation subie par l’entreprise pendant la durée du blocage de son activité.
AIG (la compagnie d’assurance) a pris en charge, pour un montant de 60 000 €, les frais de l’expert, le montant de la rançon, les frais de reconstitution des données ainsi que la perte d’exploitation subie par l’entreprise pendant la durée du blocage de son activité.
2- Je ne suis pas exposé, car je ne fais pas de e-commerce
La cybercriminalité ne concerne pas que les professionnels du e-commerce. La messagerie est un le principal point d’entrée des pirates informatiques. Sans être paranoïaque, le risque est quotidien.
3- Mon informaticien m’a installé un anti-virus et anti-spam complet, je suis donc protégé
Ces outils constituent certes une première barrière nécessaire, mais ils ne sont pas infaillibles.
Les cyber-risques se situent principalement dans la pratique des utilisateurs avec leur poste de travail.
Les cyber-risques se situent principalement dans la pratique des utilisateurs avec leur poste de travail.
Par exemple :
• Installation d’application non approuvée
• Téléchargement de fichiers contenant un maware ou virus
• Mise à jour tardive
Ces facteurs de risques sont amplifiés avec les outils nomades (smartphone, tablettes).
4- La cyber-sécurité ça coûte cher
Une cyber-attaque coûte très cher à l’entreprise victime. Et l’investissement dans une assurance cyber serait très rapidement amorti.
À partir de 20€ par mois, vous pouvez bénéficier d’une couverture très complète.
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